E-éducation, comment formera-t-on les élèves de demain ?

A l’occasion de la troisième édition nationale de la semaine des langues vivantes en France, nous avons voulu vous partager notre dernière expérience au sein du salon Eduspot. Nous étions présents dans la partie dédiée à l’e-éducation…

Pourquoi ? Parce que Pipplet n’est pas là que pour les entreprises, mais aussi pour les enseignants et les formateurs !

Proposer l’évaluation du futur dans les langues, c’est notre vision, on avait donc déjà une petite idée de ce à quoi l’évaluation de demain ressemblera.

Mais quid de l’éducation ?

Voici quelques pistes qu’on vous rapporte tout droit du salon !

Comme nous étions dans la partie « futur » sur le salon, on a rencontré tout un tas de start-up sympas qui ont des idées assez chouettes pour demain.

Il y a bien sûr les changements dans les façons d’enseigner, avec des formes 2.0 d’éducation comme celles de BrotherTongue , English Attack ou encore LoginChinese. On parle notamment de pratique par chat personnalisé, d’utilisation des big data ou encore de microcontenus…

Mais il n’y a pas de changements uniquement dans la façon de faire: les objectifs des formations changent aussi.

En langues, par exemple, on constate qu’on se focalise de plus en plus sur un apprentissage qui permet de « faire avec la langue », que de « connaissances sur la langue ». Les différentes start-up rencontrées sur le salon vont toutes dans ce sens.

Et comme les objectifs changent, l’évaluation aussi va changer. Parmi les nombreux professionnels rencontrés, beaucoup partagent un constat un peu désabusé. Ce qu’on leur demande, c’est de former leurs élèves à passer des certifications en langue au format QCM.

Ils ne sont donc pas mécontents de voir arriver ces tests et ces certifications qui permettent de rendre compte de ces nouveaux objectifs, comme ceux que nous proposons (une évaluation qui ne mesure ni la grammaire ni le vocabulaire, mais plutôt des compétences concrètes comme écrire un mail de relance, comprendre un texte ou faire dépanner sa voiture).

C’est ce qu’on raconte dans cette vidéo où Baptiste est interviewé au salon Eduspot .

Ce qui est aussi sorti de ces discussions, c’est qu’on peut parler d’une sorte de cercle vertueux des échanges.

Le monde de l’éducation bouge, et cherche donc de nouvelles façons d’évaluer. En parallèle le monde de l’entreprise change aussi, et apporte, via des offres telles que celles que nous proposons, une approche nouvelle pour le monde de l’éducation.

Rappelons le, depuis le début, notre mission consiste à proposer des tests plus rapides et plus efficaces qui permettent notamment de faciliter la tâche des recruteurs. Comment? En évaluant les candidats dans un contexte professionnel sur des compétences réelles et pertinentes, conformes aux attentes d’une entreprise.

Mais nous nous sommes rendus compte que notre approche s’adapte particulièrement bien au monde de l’éducation et que finalement un lycéen, voire un collégien, ne devrait pas être évalué sur des critères différents qu’un jeune diplômé.

Après tout, l’éducation est quand même en bonne partie là pour nous préparer à la vie professionnelle, non ?